Alors que les données personnelles sont aujourd’hui captées et monétisées sans réel consentement par les plates-formes, la maîtrise et la capacité d’agir des usagers sont au cœur du « self data » (ou « my data »), avec l’ambition de replacer l’usager au cœur du dispositif. Fournir des moyens de contrôle réels sur les données personnelles : cette approche fait l’objet d’expérimentation depuis plusieurs années : en France (MesInfos), mais aussi aux États-Unis (My Data Initiatives), au Royaume-Uni (midata) ou encore en Finlande (MyData Finland).
Date : September 2, 2019 at 05:09PM
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