Le nombre de victimes est en légère baisse, selon Kaspersky, mais le phénomène reste un problème mondial. Et, avertit l’éditeur, « le problème ne disparaîtra pas de lui-même ».
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OK